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Affaire des dîners
(jlai.lu)
un président qui refuse de reconnaître la victoire (même si elle est mineure) du NFP, une coalition qui ne se fera probablement pas, un gouvernement pas encore formé et un premier ministre à qui on a refusé la démission
Pour l'instant, je ne vois pas de quoi fouetter un chat. Dans les fait l'assemblée est 1/3 gauchevoire centre gauche, 1/3 centre droit, et 1/3 droite dure.
La question est comment un de ces groupes autour de 1/3 va résister à une motion de censure. Dans cette configuration, le centre droit est en situation de négocier avec les 2 autres camps.
Pour mémoire, la Belgique à élu un nouveau parlement le meme jours que les Européenne, et n'a toujours pas de gouvernement sans que personne ne s'inquiète. L'ancien premier ministre gère les affaires courantes.
Donc oui, c'est normal que la Macron ie parle à tout le monde et que Attal gère les affaires courantes quelques semaines.
Après effectivement, je suis emmerdé que certains considère le RN comme un parti normal et LFI comme un parti dangereux (c'est vrai qu'un ancien ministre de Mittérand, puis sénateurs PS qui se fait une crise de la 60aine en se révant tribune de la plèbe c'est un dangereux extremiste comparé à des anciens de milices fascistes)
Mais la gauche n'a pas gagné les éléction, 2/3de l'assemblée est à droite. Soi, t le NFP fait une Alliance avec Macron(je suis pas contre le principe, la question est le programme, rien que le programme) soit les Macronistes font une Alliance avec LR et un pacte de non agression avec le RN. Il y a probablement d'autre solutions, mais pas de coalition clairement majoritaire à l'an, pas de premier ministre, le contraire serait anti démocratique