En fait. c'est une chose qui est en train de revenir dans la figure de ceux qui ne comprenaient pas qu'on ne voulait pas de réseaux sociaux centralisés: on ne veut pas avoir de contenu forcés sur notre écran. On n'aime pas les pop-ups, les pubs, les interruptions, ou, comme dans cet article, les photos de bébés morts poussées par un sponsor.
C'est pas juste le "privilège d'ignorer ce qui va mal dans le monde", c'est choisir de comment on l'approche. On peut accepter d'avoir à nettoyer les caniveaux de temps en temps, mais quand on le fait on s'équipe avant avec de bonnes bottes bien épaisses.
Perso je pense que comme on a découvert au 20e siècle les bases de l'hygiène et comment limiter les infections, on est en train de découvrir une forme d'hygiène mentale et comment se préserver de certaines toxicités qui n'apportent rien à personne.